Communiqué de presse

Chez Michelin, des salariés sont contraints de travailler sans prime, alors que la fabrication de pneumatiques n’est pas essentielle dans ces circonstances et que la santé du personnel devrait primer sur toute autre considération. Pour les usines en arrêt, la direction a imposé unilatéralement deux semaines -dont la 5éme semaine- de congés payés et des jours de RTT, de CET, de récupération ou autre.

Pour la CGT, l’attitude de la direction est scandaleuse et dément toutes les déclarations visant à donner une image d’entreprise vertueuse, sociale et protectrice de son personnel.

La CGT réclame l’arrêt de toutes les usines en France, la mise en sécurité des salarié(e)s, ainsi que le paiement de ces arrêts contraints à 100%, en prenant sur les dividendes des actionnaires si besoin.

C’est la force de travail qui doit être préservée, pas la bourse des actionnaires

Lire le communiqué de presse suite à la CSEC extraordinaire du 27 mars 2020